Passants volubilles, je fronce les surcils La balade en ville me rend malade et vil Le panach des sons d'où tachent du klaxons Que cache les garçons qui flashe leur calçon Cavalcade virile juste en rade au bout du fil Attendant tranquille sur les rives...

On grandit dans la rue esquivant les balles Des enfants disparus dans le crime et le mal Car en perdant de vue la famille qui râle Ils ne sont plus pourvus d'un amour qui cale Je ne comprendrais pas celui qui n'est sage Q'au dela de ces choix l'enfermant...

On entend la foule qui traverse les murs Chaque jour nous saoules de travailler si dur A perdre la boule dans ce monde d'impur. Passes chez moi avant de tout faire sauter A écouter le vent balayer de beauté Ce confort qu'on te vend est fort pour dégotter...

Les années s'effacent vers d'autres à venir Tout ces gens qui tracent sans pouvoir retenir Tout ce qui se passe, oubliant souvenirs A jamais trépassent l'absence à punir Vivre une vie pleine d'abandons dans l'action Comptant sur les scènes de nos lamantations...

Face à certains abus de nos politiciens Pour prendre l’Élysée sans que ça dérange, Création de pouvoirs, de rentabilités L'élite s'enrichit et se cache de l'impôt Je nais dans le début des années quatre-vingt. La vie mondialisée par le libre échange,...