Nos compassions de refuser les plus rondes
Dans ses journaux de sac d'os blondes,
La crise va devenir plus que sexuelle,
Le monde a chaud si consensuel...
Nos compassions à oublier toutes nos hontes
Où les journaux c'est l'I.P.S.O.S. qui compte
La crise visible en est bien résiduelle
Un monde en guerre perpétuelle
Leurs compassions risibles s'ils en répondent
Dans leurs journaux où ils correspondent
La crise de leur œil rien que visuelle
Un monde pyramidale tant usuel
Nos compassions à cette peur si profonde
Dans ses journaux : licenciés grondent
Ta crise me fait chômeur par un e-mail
Et le monde me sert cette gamelle...
Pas une heure ! Pas un jour ! sans que...
Un papier un flash ne manque...
Pas un mois, pas un an sans que...
Les franc-maçons ne se banquent !!!
Pas une heure ! Pas un jour ! sans que...
L'on entendent des tirs de tanks...
Pas d'émoi, face à moi tant que...
Les lobbys influant ne se planquent
Une compassion aux recettes de la Jeconde
Dans les journaux l'artiste nous fondent
La crise est un film demeurant virtuel
Le monde se complairait de ce bordel
Une compassion aux passés à comprendre
Dans les journaux les dettes en offrandes
La crise d'un Monopoly que d'hôtels
Le monde joue et paraît démentiel
Nos compassions sont jugées à la seconde
Dans ses journaux toujours nous sondent
La crise me rappelle qui est ce panel
Un monde choqué de foules solennelle
Nos compassions pour Djallal qu'ils vendent
Dans ses journaux sur un ton qui scande
La crise qui nous grise si contextuel
Le monde vendu d'une bagatelle
Pas une heure ! Pas un jour ! sans que...
Un papier un flash ne manque...
Pas un mois, pas un an sans que...
Les franc-maçons ne se banquent !!!
Pas une heure ! Pas un jour ! sans que...
L'on entendent des tirs de tanks...
Pas d'émoi, face à moi tant que...
Les lobbys influant ne se planquent
Nos compassions pour toi seront immondes
Dans les journaux les bourses s'effondrent
La crise c'est du Nestle à la truelle
Le monde tel est sataniste et cruel
Nos compassions face à toutes vos frondes
Dans ses journaux faits divers nous pondent
une crise mentant sur le vrai duel
Le monde s'égare devient irréel
Nos compassions de souffrances trop grandes
Dans les journaux no panik propagandes
La crise à vaincre pour une partie plus belle
Le monde contractant plus que des querelles
Nos compassions face aux malheurs qui abondent
Dans ses journaux nouvelles nosées abondes
La crise nous apparaît immortelle
Le monde ne serait plus qu'informel
Pas une heure ! Pas un jour ! sans que...
Un papier un flash ne manque...
Pas un mois, pas un an sans que...
Les franc-maçons ne se banquent !!!
Pas une heure ! Pas un jour ! sans que...
L'on entendent des tirs de tanks...
Pas d'émoi, face à moi tant que...
Les lobbys influant ne se planquent...!!!